Cafés citoyens solidaires

Contexte

Ce projet porté par les CEMEA Pays de la Loire, a pour but l’organisation de “cafés citoyens solidaires” dans différents quartiers nantais. Ces évènements seront l’occasion d’aborder des questions liées à l’interculturalité, à la solidarité internationale et au développement durable.

Dans une démarche d’éducation populaire, les jeunes, habitant.es et structures du territoire deviendront acteurs de ces cafés citoyens solidaires, en se formant aux méthodes d’animation, en participant à l’organisation de ces temps, en valorisant leurs projets, en renforçant leurs compétences, etc. 

Partenaires locaux

• CEMEA Pays de la Loire
• Ville de Nantes
• Parcours le Monde Grand Ouest

Objectifs du projet

• Créer des espaces de réflexion collective par et pour les habitant.es de Nantes, autour des questions de solidarité internationale et d’interculturalité.
• Permettre aux jeunes de se saisir des enjeux liés au développement durable afin de construire un monde plus équitable et juste, ici et ailleurs.
• Susciter l’envie de s’engager dans des projets de solidarité, ici ou ailleurs.
• Donner la possibilité aux habitant.es de Nantes de se rendre acteur.ices des évènements appelés “cafés citoyens solidaires”. 
• Lutter contre toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes. 
• Créer des outils et des démarches d’appropriation de l’ECSI (Education à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale).
• Encourager les partenariats, dans un objectif commun. 

Activités

• Identification des structures associatives du territoire.
• Constitution d’un groupe de pilotage.
• Constitution des groupes de jeunes dans chaque quartier.
• Accompagnement individuel des groupes de jeunes et acteurs sur chaque quartier.
• Mise en place des évènements “cafés citoyens solidaires”.
• Capitalisation de l’expérience vécue.

Résultats

Trois cafés solidaires sur les huit prévus à l’origine ont finalement pu voir le jour, en raison des difficultés causées par la situation sanitaire. Le projet de huit cafés en neuf mois paraît également trop ambitieux avec le recul de l’expérience. Il faudrait notamment améliorer le travail en amont.

Ces cafés ont permis chacun de sensibiliser une quarantaine de personnes, de groupes cibles diversifiés, en raison des dynamiques différentes des quartiers dans lesquels les cafés se sont tenus. Il est difficile à court terme d’évaluer l’impact de ces cafés sur la jeunesse, mais leurs futurs engagement dans la solidarité internationale témoigneront de la réussite de ces évènements. Par ailleurs, de nombreuses acteurs associatifs ont transmis leurs informations de contact pour de la mise en réseau, ce qui montre l’intérêt que les cafés ont réussi à susciter.

Victoria, responsable de la pépinière jeunesse de l'Horizon, au Breil : « Le temps du 3 juillet a été l'occasion de montrer toutes les dynamiques à l'œuvre sur le territoire des Dervallières. Parce qu'ici il se passe beaucoup de belles choses et qu'il faut le montrer ! »